1-LA NUOVA ERA IMPORTA(3 SCRITTI):
-SCRITTO 1:
- *A: LA NUOVA ERA IMPORTA
-TITOLARE SUL CORRIERE DELLA SERA:
Usa, stop ad alcuni prodotti Samsung
«Violati brevetti di proprietà Apple»
*STESSO TITOLARE SU "LA REPUBBLICA":
REAZIONE:QUESTA E' ANCHE LA MIA VITTORIA,VEDILA CUA
http://cianciminotortoici.blogspot.com/2012/08/propieta-intelletualebrevettidifferendo.html
B-SECONDO......"NUOVA ERA CHE IMPORTA"
-TITOLARE SUL CORRIERE DELLA SERA:

Un nuovo amore per la vedova Jobs È un ex sindaco
http://youtu.be/dx51DJ909aA
-VEDI QUESTO SCRITTO SULLA PUBBLICAZIONE ORIGINALE DEL BLOG:
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12274852.html
-----------------------------------------------------------------------------
-SCRITTO 2:
- 29 AGOSTO 2013:CYBER-GOSSIP."LA NUOVA ERA IMPORTA" 2
- -NOTA SU "LA STAMPA":Tecnologia
29/08/2013
Il “love affair” di Sergey Brin di Google

Anne Wojcicki e Sergey Brin
+ “Ecco come sono nate le trasgressioni di Lady Gaga” paolo mastrolilli
Lui vive lontano dalla famiglia e il capo di Android va via, cosa c’entra?
Anche lei enfant prodige della Silicon Valley, fondatrice di 23andMe, una start up che commercializza in test Dna, aperta grazie anche ai 100 milioni di dollari recuperati tra Google, Google Ventures e lo stesso Brin.
Succede che Brin e Wojcicki “vivono separati da diversi mesi, ma rimangono buoni amici e partner (?)”, secondo quanto dichiarato da un portavoce della coppia . E succede che il vicepresidente di Google, responsabile della divisione Android, Hugo Barra, annuncia che lascia il colosso di Mountain View per diventare a ottobre il vicepresidente della cinese Xiaomi Global.
Le due cose sono correlate? Da quanto si dice, e si scrive, nella Silicon Valley sembra di sì. Il motivo per cui Brin e la moglie vivono separati da alcuni mesi, ma, attenzione, non hanno ancora deciso per la separazione legale, sarebbe una cotta che il fondatore di Google avrebbe preso per una sua dipendente che lavora nel team di Google Glass (il pallino di Brin) e che, guarda un po’, era la fidanzata di Barra.
I soliti ben informati sostengono che la dipartita di Barra sia, come dire, stata agevolata da Brin, un metodo vecchio come l’industria per togliere di mezzo il rivale. A complicare l’affaire l’ulteriore fatto che la sorella di Anne, Susan è uno dei primi badge di Google e, attualmente, uno dei top manager di Google, lei è senior vice president della divisione advertising ed e-commerce nonché proprietaria del garage da cui tutto è iniziato, ma è sotto la squadra di Larry Page.
Ora, la separazione legale tra Brin e la Wojcicki sarebbe vincolata da un fortissimo contratto prematrimoniale che, tra le altre cose, impedirebbe che la separazione stessa influisse in qualche modo sui conti di Google. La cosa non è di poco conto se si considera che il patrimonio di Sergey Brin è valutato da Forbes in 22,8 miliardi di dollari (Bloomberg dice 24,5 miliardi) ma a lui appartengono circa 21 miliardi di dollari di azioni Google. Staremo a vedere, per ora sembrerebbe che in tutto questo chi ci guadagni di più è proprio Barra che inizia da vice presidente una nuova avventura in una delle aziende mobile più promettenti del mondo.
AGGIORNAMENTO
Google ovviamente non conferma che la partenza di Barra sia in qualche modo legata alle questioni di cuore di Brin e che la scelta del manager fosse antecedente ai fatti, e poco importa se sono mesi che Brin non vive più con sua moglie, niente di più prevedibile ma è corretto pubblicarlo. Inoltre, questo è il commento ufficiale di Google rilasciato a Forbes sulla scelta di Hugo Barra: “Auguriamo a Barra il meglio. Ci mancherà e siamo entusiasti che lavorerà ancora all’interno dell’ecosistema Android”.
CUA DIRETTAMENTE:http://lastampa.it/2013/08/29/tecnologia/il-love-affair-di-sergey-brin-di-google-jtk754aav2NIp79Ijp4q6L/pagina.html
REAZIONE:NATURALMENTE IL BENEFICIATO CUI E BARRA:CAPO DELLA SUA PROPIA "GOOGLE CINESE".E ANCHE MI BENEFICIO IO,VOI E QUESTE PUBBLICAZIONI:BASTA SEMINARE DUBBI SULL'APOGGIO DI QUESTE PAGINE ALLA NUOVA ERA CINESE.LA NUOVA ERA E' MOLTO PIU IMPORTANTE DEI VOSTRI PROBLEMI.
APPENDICE:"LA NUOVA ERA IMPORTA" 3
-TITOLARE SU "LE FIGARO":
Un ponte de Google part pour la Chine
Par Elsa Bembaron
Mis à jour le 29/08/2013 à 16:50
Publié le 29/08/2013 à 15:14
"Après près de cinq années et demies chez Google et près de trois ans en tant que membre de l'équipe Android", le système opérationnel pour appareils mobiles de Google, "j'ai décidé de commencer un nouveau chapitre de ma carrière", explique Hugo Barra dans un message sur le réseau social Google +. "Dans quelques semaines, je vais rejoindre l'équipe de Xiaomi en Chine pour l'aider à développer son incroyable portefeuille de produits et ses activités au niveau mondial, en tant que vice-président de Xiaomi international", ajoute-t-il. "J'ai hâte de démarrer ce nouveau défi et je suis particulièrement heureux à l'idée de continuer à contribuer à la croissance de l'écosystème Android", a-t-il conclu. Android est un système opérationnel pour appareil mobiles conçu par Google et qui fonctionne sur de nombreux téléphones multifonctions et tablettes comme le téléphone Samsung Galaxy Nexus ou la tablette Xoom de Motorola.
Le départ d'Hugo Barra, vice-président de la division Android de Google pour le fabricant chinois de smartphones Xiaomi en dit long sur les ambitions de ce dernier. Xiaomi vient de passer devant Apple (en volume de ventes) sur le marché chinois, pointant désormais à la sixième position, tandis que l'américain est relégué en septième position, selon le cabinet Canalys. A l'image de ces deux rivaux Lenovo et Huawei, plus connus, Xiaomi entend partir à la conquête du monde, après avoir fait ses armes sur le marché chinois.
Pour Google, ce n'est pas forcément une mauvaise opération. Le groupe a tout intérêt à promouvoir le développement de fabricants de smartphones sous Android, à moindre coût. Ainsi, alors qu'un iPhone est vendu 5,288 yuan, le terminal le plus cher de Xiaomi coûte 1,699 yuan. De quoi attirer une clientèle nombreuse et pas simplement dans les pays émergents.
(Avec AFP)Elsa Bembaron,journaliste,35 abonnés
Journaliste, spécialiste des grandes tendances économiques et marketing de l’Électronique grand public et de l’électroménager
Ses derniers articles
Clic and Walk réinvente l'enquête de satisfaction client
Un ponte de Google part pour la Chine
Gemalto surfe sur la vague des objets connectés
LA NOTA CUA DIRETTAMENTE:http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/08/29/97002-20130829FILWWW00383-un-ponte-de-google-part-pour-la-chine.php
REAZIONE:APPLE BATTE SAMSUNG,ANDROID BATTE APPLE?TUTTI DEVONO IL SUO SUCCESSO A QUESTE PAGINE.QUELLO DEL TITOLO.
-VEDI QUESTO SCRITTO SULLA PUBBLICAZIONE ORIGINALE DEL BLOG:
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12326992.html
------------------------------------------------------------------
.-SCRITTO 3:
1 SETTEMBRE 2013:"LA NUOVA ERA IMPORTA"4
-NOTA SU LE MONDE:
Technologies
Pourquoi un haut responsable d'Android quitte Google pour le chinois Xiaomi
Le Monde.fr | 29.08.2013 à 19h59
Mis à jour le 30.08.2013 à 11h10 |
Par Guénaël Pépin

Hugo Barra présentant la seconde version de la tablette Nexus 7 à San Francisco, le 24 juillet. | AFP/JUSTIN SULLIVAN
L'équipe dédiée au système pour smartphones et tablettes Android chez Google
perd une de ses têtes. Hugo Barra, vice-président en charge d'Android, a
annoncé jeudi 29 août son départ du groupe dans quelques semaines, pour
rejoindre le constructeur chinois de smartphones Xiaomi, et soutenir son expansion internationale.
"Dans quelques semaines, je rejoindrai l'équipe de Xiaomi pour les aider à étendre leur portfolio et leur business dans le monde, en tant que vice-président de Xiaomi Global", explique Hugo Barra dans un message sur Google+, dans lequel il félicite l'équipe Android pour son travail. "[Hugo] nous manquera à Google, mais nous sommes ravis qu'il reste sur Android", a répondu le responsable d'Android et Chrome, Sundar Pichai, sur le réseau social du groupe.
Avec Sandar Pichai, le responsable du design Matias Duarte ou l'ancien responsable Andy Rubin, Hugo Barra
est une des figures publiques de l'univers Android chez Google,
notamment chargé des présentations des nouveautés du système, des
applications du groupe et des appareils. Il avait dernièrement présenté
la dernière version de la tablette Nexus 7 (sortie mercredi en France)
et la clé TV Chromecast. Malgré des rumeurs liant son départ à une
mésaventure amoureuse au sein de Google, la décision aurait été prise
bien avant, rapporte le site AllThingsD du Wall Street Journal.
POSITIONNEMENT HAUT DE GAMME ET FORTE CROISSANCE
Chez Xiaomi, le responsable de Google sera chargé des affaires à l'international et des partenariats. Actuellement, Xiaomi vit principalement du marché chinois, malgré deux incursions en avril à Hongkong et Taïwan. Comme ses compatriotes Huawei et ZTE, l'entreprise compte ainsi sur l'international pour soutenir son développement. Lors de sa dernière levée de fonds, la valeur de l'entreprise a été évaluée à 10 milliards de dollars (7,5 milliards d'euros). Il est estimé qu'elle passe à 30 milliards de dollars (22,6 milliards d'euros) d'ici à 2015.
La société, fondée en 2010, a réalisé un chiffre d'affaires de 2,15 milliards de dollars (1,62 milliard d'euros) sur le premier semestre 2013, contre 2,07 milliards (1,56 milliard d'euros) pour l'ensemble de l'année 2012. Sur les six premiers mois de l'année, l'entreprise a vendu 7 millions de terminaux, avec un objectif de 15 millions de ventes pour la fin 2013, réhaussé à 20 millions en août. L'entreprise, au positionnement haut de gamme, fournit des terminaux au prix divisé par deux ou trois face à ses compétiteurs mondiaux, comme Apple ou Samsung. Son dernier modèle haut de gamme, le Mi 2S, aurait été le smartphone le plus populaire du pays sur le premier semestre, devant le Samsung Galaxy S4. Selon Analysys International, cité par TechCrunch, Xiaomi aurait détenu 2,5 % du marché des smartphones au second trimestre 2013, contre 18,6 % pour Samsung et 4,6 % pour Apple.
"Xiaomi ressemble un peu à Apple, mais est vraiment proche d'Amazon, avec quelques éléments de Google", expliquait son fondateur, Lei Jung à Reuters, à la mi-août. L'entreprise vend ainsi ses appareils à bas coût dans le but de réaliser des profits dans la vente de contenus – comme Amazon avec sa gamme de liseuses et de tablettes Kindle ou Google avec sa gamme de smartphones et tablettes Nexus, censés diffuser son magasin Google Play. Le magasin d'applications de Xiaomi a officiellement atteint un milliard de téléchargements, jeudi.
UN SYSTÈME SE VOULANT PROCHE D'IOS
La société est notamment connue pour ses opérations commerciales, vendant ses terminaux par lots limités. En avril 2012, son premier modèle haut de gamme, le Mi One (M1), s'était écoulé à 150 000 exemplaires en 13 minutes, au prix de 1 999 yuan (247 euros). Six mois plus tard, en octobre, le second modèle (M2) s'était vendu à 50 000 exemplaires en moins de trois minutes, selon l'entreprise, au prix de 2 299 yuan (284 euros). L'entreprise s'était associée en décembre à l'équivalent chinois de Twitter, Sina Weibo, pour vendre un autre lot de son second modèle haut de gamme : 50 000 exemplaires sont partis en un peu plus de cinq minutes.
http://youtu.be/QXM7QmgM7yc
L'attrait des smartphones de l'entreprise ne vient pas que du matériel, mais des modifications apportées au système Android de Google. Le groupe américain fournit librement son système et permet de le modifier en profondeur, notamment pour modifier son ergonomie. Xiaomi est ainsi à l'origine de MIUI, une version d'Android à l'interface retravaillée, rapprochée en de nombreux points de celle du système iOS d'Apple, qui équipe l'iPhone. Au fil des versions, elle a tout de même affirmé sa propre inspiration. Cette version alternative, qui équipe ses smartphones, est également distribuée gratuitement, créant une renommée pour la jeune entreprise dans la communauté des aficionados et bidouilleurs d'Android.
Les efforts de Xiaomi ne sont pas uniques. Si l'entreprise a choisi très tôt son positionnement – un matériel haut de gamme vendu en marque propre avec une version modifiée d'Android –, celui-ci est depuis au centre du développement international du premier équipementier télécom chinois, Huawei, qui opère une montée en gamme sur ses smartphones. Délaissant peu à peu la vente en marque blanche pour opérateur, le groupe développe depuis 2011 sa propre surcouche à Android, Emotion UI, inspirée de la surcouche Nature UX de Samsung.
POSITIONNEMENT HAUT DE GAMME ET FORTE CROISSANCE
Chez Xiaomi, le responsable de Google sera chargé des affaires à l'international et des partenariats. Actuellement, Xiaomi vit principalement du marché chinois, malgré deux incursions en avril à Hongkong et Taïwan. Comme ses compatriotes Huawei et ZTE, l'entreprise compte ainsi sur l'international pour soutenir son développement. Lors de sa dernière levée de fonds, la valeur de l'entreprise a été évaluée à 10 milliards de dollars (7,5 milliards d'euros). Il est estimé qu'elle passe à 30 milliards de dollars (22,6 milliards d'euros) d'ici à 2015.
La société, fondée en 2010, a réalisé un chiffre d'affaires de 2,15 milliards de dollars (1,62 milliard d'euros) sur le premier semestre 2013, contre 2,07 milliards (1,56 milliard d'euros) pour l'ensemble de l'année 2012. Sur les six premiers mois de l'année, l'entreprise a vendu 7 millions de terminaux, avec un objectif de 15 millions de ventes pour la fin 2013, réhaussé à 20 millions en août. L'entreprise, au positionnement haut de gamme, fournit des terminaux au prix divisé par deux ou trois face à ses compétiteurs mondiaux, comme Apple ou Samsung. Son dernier modèle haut de gamme, le Mi 2S, aurait été le smartphone le plus populaire du pays sur le premier semestre, devant le Samsung Galaxy S4. Selon Analysys International, cité par TechCrunch, Xiaomi aurait détenu 2,5 % du marché des smartphones au second trimestre 2013, contre 18,6 % pour Samsung et 4,6 % pour Apple.
"Xiaomi ressemble un peu à Apple, mais est vraiment proche d'Amazon, avec quelques éléments de Google", expliquait son fondateur, Lei Jung à Reuters, à la mi-août. L'entreprise vend ainsi ses appareils à bas coût dans le but de réaliser des profits dans la vente de contenus – comme Amazon avec sa gamme de liseuses et de tablettes Kindle ou Google avec sa gamme de smartphones et tablettes Nexus, censés diffuser son magasin Google Play. Le magasin d'applications de Xiaomi a officiellement atteint un milliard de téléchargements, jeudi.
UN SYSTÈME SE VOULANT PROCHE D'IOS
La société est notamment connue pour ses opérations commerciales, vendant ses terminaux par lots limités. En avril 2012, son premier modèle haut de gamme, le Mi One (M1), s'était écoulé à 150 000 exemplaires en 13 minutes, au prix de 1 999 yuan (247 euros). Six mois plus tard, en octobre, le second modèle (M2) s'était vendu à 50 000 exemplaires en moins de trois minutes, selon l'entreprise, au prix de 2 299 yuan (284 euros). L'entreprise s'était associée en décembre à l'équivalent chinois de Twitter, Sina Weibo, pour vendre un autre lot de son second modèle haut de gamme : 50 000 exemplaires sont partis en un peu plus de cinq minutes.
http://youtu.be/QXM7QmgM7yc
L'attrait des smartphones de l'entreprise ne vient pas que du matériel, mais des modifications apportées au système Android de Google. Le groupe américain fournit librement son système et permet de le modifier en profondeur, notamment pour modifier son ergonomie. Xiaomi est ainsi à l'origine de MIUI, une version d'Android à l'interface retravaillée, rapprochée en de nombreux points de celle du système iOS d'Apple, qui équipe l'iPhone. Au fil des versions, elle a tout de même affirmé sa propre inspiration. Cette version alternative, qui équipe ses smartphones, est également distribuée gratuitement, créant une renommée pour la jeune entreprise dans la communauté des aficionados et bidouilleurs d'Android.
Les efforts de Xiaomi ne sont pas uniques. Si l'entreprise a choisi très tôt son positionnement – un matériel haut de gamme vendu en marque propre avec une version modifiée d'Android –, celui-ci est depuis au centre du développement international du premier équipementier télécom chinois, Huawei, qui opère une montée en gamme sur ses smartphones. Délaissant peu à peu la vente en marque blanche pour opérateur, le groupe développe depuis 2011 sa propre surcouche à Android, Emotion UI, inspirée de la surcouche Nature UX de Samsung.
Lire : "Nous voulons montrer au public que la marque Huawei existe"
LEGGERE
DIRETTAMENTE CUA:
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/08/29/un-responsable-d-android-quitte-google-pour-le-constructeur-chinois-xiaomi_3468653_651865.html
REAZIONE:SI HA FATTO TARDIUNA ULTERIORE PROVA CHE IL "TRANSFORMISMO" IN CINA E' STATO DEFINITIVAMENTE SUPERATO,UNA ULTERIORE PROVA DELLE LIBERALIZAZZIONI IN QUEL PAESE.
VEDI QUESTO SCRITTO SULLA PUBBLICAZIONE ORIGINALE DEL BLOG:
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12328022.html
-E SULLO STESSO LINK VEDI LO SCRITTO CORRELATIVO:
31 AGOSTO 2013:"UNA COSA E' UNA COSA,ALTRA COSA E' ALTRA COSA"
--------------------------------------------------------------------------------------- 2-ALLA NUOVA ERA NON IMPORTA(UN SOLO SCRITTO)
-LA NOTA:

NOTIZIE CURIOSE
03 settembre 2013
Walkie Talkie Tower di Londra acceca pedoni e fonde le auto
http://youtu.be/NVCEgDSjmqc

PD:VERO CHE SEMBRA LA TORRE DI PISA?:VEDI COME E' INQUINATA.
AH.....MI SCUSI IL SIGNOR MARTIN SE LO SPLENDORE DELLA VERITA LO HA DANNATO ,MA LA NUOVA ERA E BEN PIU IMPORTANTE DELLA SUA JAGUAR.(SU QUESTO CAPISCI TUTTO CUA: http://spaziorealedottciancimino.over-blog.com/le-buggie-del-consenso-italien )
- VEDI QUESTO SCRITTO SULLA PUBBLICAZIONE ORIGINALE DEL BLOG:
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12339033.html
---------------------------------------------------
-APPENDICE: VEDI ANCHE QUESTI LINK CON DEGLI SCRITTI CORRELATI.
1)-20 AGOSTO 2013:CINA,ALLARMISMO ESSAGERATO
16 AGOSTO 2013:LA NUOVA ERA SI APPROFONDISCE IN NUMERI
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12299574.html
3)- 2 SETTEMBRE 2013:VODAFONE-VERIZON SPARTIAQUE ITALIA-USA
http://blog.libero.it/CIANCIMINO/12334652.html