lunedì 6 aprile 2015

GOOGLE E ANTITRUST:IO VITTIMA DI PRESSIONI PER PARTE DELLA PUBBLICITA DI GOOGLE,PORTATO A PROCESSO IN FRANCIA E USA

-DALLO SCHERZO AL DRAMMA IN 3 PUNTI:
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-PUNTO 1:HO INIZIATO A INTERESSARMI SU QUESTO ARGOMENTO QUASI CHE PER CASO E IN MODO PIU TOSTO SCHERZOSO CON UNO SCRITTO SUL MIO BLOG DEI "FATTI INTERNI" CON MOTIVO DI UNA NOTA SU SESSISMO NELLA SILICON VALLEY.VEDI LO SCRITTO:

*28 MARZO 2015:FEMMINISMO NELLA SILICON VALLEY,LA ELLEN PAO NON E’ STATA MIRACOLATA
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BBCNEWS
Ellen Pao perde caso sessismo contro Silicon Valley azienda
8 marzo 2015
Dalla sezione USA e Canada
Una giuria della California ha scoperto che una società di venture capital non discriminare un partner di sesso femminile in un caso strettamente sorvegliati in Silicon Valley.Ellen Pao ha sostenuto che perso su promozioni a Kleiner Perkins Caufield e Byers a causa del suo genere.Ms Pao, ora un esecutivo con il sito web Reddit, dice che è stato respinto dopo aver accusato.L’azienda ha detto che le sue decisioni erano basate sulla sua performance.Il caso ha attirato l’attenzione di una mancanza di diversità di genere nel settore della tecnologia – soprattutto tra i suoi top manager.Società di venture capital sono una fonte principale di finanziamento per molte start-up della Silicon Valley. Kleiner Perkins – come è comunemente noto – ha investito in aziende tra cui Snapchat, Spotify, Uber, Twitter, e Google.Oltre ai danni punitivi, la signora Pao è stato anche cercando $ 16m (£ 10.7m) a titolo di risarcimento per la perdita del salario.Durante gli argomenti di chiusura, giurati sentito storie in conflitto di mandato della sig.ra Pao presso lo studio.
John Doerr, uno dei venture capitalist dell'impresa, sul palco con Steve Jobs di Apple nel 2008




John Doerr (a destra), uno dei venture capitalist dell’impresa, sul palco con Steve Jobs di Apple nel 2008
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I suoi avvocati suo ritratto come un partner minore di successo che è stato discriminato perché la società giudica gli uomini e le donne in modo diverso.
L’avvocato della sig.ra Pao, Alan Exelrod, ha detto che due dei suoi colleghi maschi era stato promosso, nonostante il fatto che uno si chiamava conflittuale e l’altro è stato accusato di avere “gomiti appuntiti” – un apparente riferimento al suo atteggiamento verso gli altri lavoratori.
Team legale della società ha detto la sig.ra Pao è stato un investitore fallito e citato in giudizio per ottenere un grande vincita mentre veniva spinto fuori.
Dicevano che era una persona difficile con cui lavorare e aveva una storia di conflitti con i colleghi, i quali hanno contribuito alla decisione di licenziarla.
Uno studio dato come prova durante il processo, ha detto che le donne sono largamente sottorappresentate nelle migliori ruoli nel settore del venture capital.
Investitore e imprenditore californiano Eric Ries ha detto alla BBC il più ampio problema della discriminazione tra i sessi in Silicon Valley è ben documentato, ma può essere involontaria.
“Silicon Valley aspira ad essere una meritocrazia in modo da avere una cultura che valorizza outsider e le prospettive che ne derivano, e c’è questa idea che le buone idee possono provenire da qualsiasi parte … questa è la nostra aspirazione, ma la realtà è per molti versi cadiamo breve , “ha detto.
http://www.bbc.com/news/world-us-canada-32094337
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-APPENDICE:RIVOLTA FEMMINISTA NEL GALLINARO HIGH TECH,FUOCO AMICO
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-SU LE MONDE,Amériques:
Ellen Pao n’a pas été victime de discrimination sexuelle, selon le verdict des jurés
Le Monde.fr | 28.03.2015 à 06h01,Mis à jour le 28.03.2015 à 16h19 | Par Corine Lesnes




image: http://s2.lemde.fr/image/2015/03/28/534×0/4603127_6_5f7d_ellen-pao-et-son-avocate-therese-lawless-le-27_7e8895acca2682210eabd2b9fea37b1d.jEllen Pao et son avocate Therese Lawless, le 27 mars.
Après 24 jours d’audience, et une vingtaine d’heures de délibération les jurés de la Cour supérieure de San Francisco ont décidé qu’Ellen Pao, associée chez Kleiner Perkins Caufield and Byers, l’une des principales firmes américaines de capital-risque, n’avait pas été victime de discrimination sexuelle lorsqu’elle s’est vue refuser une promotion, puis a été licenciée en 2012.
Le verdict a représenté une déception pour les féministes, qui avaient fait du procès un emblème du sexisme de la Silicon Valley. Mais Ellen Pao qui, au fil des audiences, s’était posée en porte-drapeau de la cause des minorités dans la high-tech, a estimé que son histoire avait été entendue : « Si j’ai contribué à aplanir le terrain pour les femmes et les minorités dans le capital-risque, a-t-elle estimé, la bataille en valait la peine. »
Les jurés – six hommes et six femmes – n’ont pas adhéré à la lecture sexiste de la plainte de Mme Pao, 45 ans, la fille d’immigrants chinois, diplômée d’ingénierie et titulaire d’un MBA de Harvard. Celle-ci avait décrit comment, chez Kleiner Perkins, les femmes étaient reléguées en bout de table dans les réunions, exclues de certains événements avec les clients, et comment elle avait été ignorée au profit de collègues masculins lorsqu’il s’était agi de promotion.
Le jury ne s’est pas estimé comptable des préjugés sexistes. Il a considéré qu’Ellen Pao n’était elle-même pas exempte d’ambiguïtés. L’avocate de Kleiner Perkins, Lynne Hermle, a stigmatisé l’« esprit de vengeance » de l’ex-associée, notant qu’elle n’avait porté ses accusations qu’après avoir été écartée des promotions au poste de « senior partner ». Elle a affirmé que Mme Pao surestimait beaucoup ses capacités et que les femmes représentent 20 % chez Kleiner Perkins, soit trois fois plus que la moyenne dans le secteur du capital-risque. Un rattrapage qui ne trompe pas, a rétorqué l’avocate de la plaignante, Therese Lawless. Avant 2011, il n’y avait eu qu’une seule femme promue au rang de « partenaire senior » dans la compagnie en 42 ans d’existence.

Procès emblématique

Le procès a divisé la Silicon Valley. Certains, dont nombre de femmes, ont estimé que Mme Pao avait commis la faute numéro un dans sa position : sortir avec un de ses collègues, marié qui plus est. L’ex-associée, qui est aujourd’hui la PDG par interim du site participatif Reddit, n’a pas nié qu’elle avait eu une brève liaison avec ce cadre, qui, a-t-elle affirmé, lui avait annoncé avoir quitté son épouse (il a été ensuite congédié pour avoir poursuivi une autre employée).
Mme Pao s’est, elle, mariée ensuite à un manager de hedge fund new-yorkais, Buddy Fletcher, un Afro-Américain dont la personnalité – et la déroute financière – ont plané au-dessus des audiences. Fletcher n’a pas hésité en 2011 à poursuivre pour discrimination raciale la copropriété du Dakota, l’un des immeubles-symbole de New York (et ex-résidence de John Lennon), affirmant qu’elle lui avait refusé l’achat d’un appartement.
Ellen Pao semble en tout cas avoir fait école. Deux nouvelles plaintes ont été enregistrées contre des entreprises de la tech, impliquant deux autres femmes d’origine asiatique. Une ancienne manager de Facebook, Chia Hong, a porté plainte pour discrimination sexuelle et raciale. Mais c’est surtout le cas de l’ancienne ingénieur en logiciels de Twitter Tina Huang qui paraît prometteur aux féministes. Dans sa plainte, Mme Huang affirme que l’approche de la compagnie créée de fait « un plafond de verre » auquel se heurtent les femmes. En effet, il n’existe ni critères publics de promotion ni publicité autour des postes disponibles ou politique de recrutement interne explicite. Chez Twitter, seuls 10 % des postes techniques sont occupés par des femmes (contre une moyenne de 20 % dans les firmes technologiques). Selon la plainte, sept seulement des 164 ingénieurs de haut niveau étaient des femmes en 2014, lorsqu’elle a quitté l’entreprise après cinq ans. Twitter a démenti l’avoir licenciée lorsqu’elle s’est plainte au PDG Dick Costolo.
Une anecdote a montré la sensibilité qui entoure actuellement le sujet des femmes dans la tech. Intervenant mi-mars au forum South by Southwest d’Austin, en compagnie de Megan Smith, la responsable des technologies de l’administration Obama, le PDG de Google, Eric Schmidt, a été pris à partie par une femme qui se trouvait dans l’assistance. « Etant donné que les recherches sur les préjugés inconscients ont révélé que les femmes sont beaucoup plus souvent interrompues que les hommes, je me demande si vous êtes conscient du nombre de fois où vous avez interrompu Megan », a-t-elle lancé. Les applaudissements ont été nourris. Et la séquence a vite pris rang de morceau d’anthologie sur les réseaux sociaux quand l’identité de la redresseuse de torts a été connue. C’était Judith Williams, la responsable du programme de sensibilisation aux préjugés chez… Google.
 Corine Lesnes
Correspondante du Monde aux Etats-Unis basée à San Francisco
http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2015/03/28/ellen-pao-n-a-pas-ete-victime-de-discrimination-sexuelle-selon-le-verdict-des-jures_4603126_3222.html
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REAZIONE:MA QUALE SESSISMO?SESSISMO CAMPATO PER ARIA.
POSIZIONI INCROCIATI,FUOCO AMICO:LA RINGRAZIO A JUDITH WILLIAMS PERO IO CREDO ALLA PARITA DI SESSO E NON ALLA DISCRIMINAZIONE POSITIVA.
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-PUNTO 2:PERO ILGIORNO DOPO MI SONO TROVATO SUL THE WASHINGTON TIMES CON UNA NOTA SULL'ARGOMENTO DEL TITOLO CHE SE ANCHE ERA UN POCO SCHERZOSA NON AVEVA NULA DA SCHERZARE POICHE ACUSAVA GOOGLE DI ABUSO DI POSIZIONE DOMINANTE PER VIA DEI RAPPPORTI POLITICI FRA SMITH E OBAMA.E HO SCRITTO SU QUELLA NOTA IL MIO PARERE IN FORMA DI "APPENDICE" ALLA NOTA SUL FEMMINISMO NEL HIGH TECH DI SOPRA.VEDI:

-APPENDICE:QUESTO NON E’ NUOVA ERA


-SU THE WASHINGTON TIMES:Lifting sulle coopertine di ‘Obamoogle’ Una inchiesta antitrust e’ andata via mentre Google si rannicchiava con Obama
By Tammy Bruce – - Lunedi, March 30, 2015
Durante questa settimana passata mentre siamo stati sommersi con le cattive notizie che uscivano da ogni angolo del globo, non sarebbe sorprendente se vi siete persi una delle rivelazioni più sconvolgenti sulle azioni della Casa Bianca che avrebbero fatto arosire anche Richard Nixon.
Il Wall Street Journal ha rivelato che aveva ottenuto un rapporto dettagliato del 2012 della Federal Trade Commissionla sulla vicinanza di Google e l’amministrazione Obama, mentre la FTC è stata impegnata in una indagine antitrust del gigante di Internet.
Di solito è il caso che si ottiengono le informazioni più interessanti quando i dettagli dovevano rimanere segrete, e questo è il caso qui. La FTC , rispondendo a una richiesta open-record, accidentalmente ha inviato 160 pagine di una relazione privata 2.012 al The Wall Street Journal , specificando le indagini antitrust in Google .
Ciò che è stato divulgato dipinge un quadro di attività insolite tra la Casa Bianca , Google e la FTC mentre l’indagine antitrust è stata condotta. In ultima analisi lo staff del la FTC consiglia portare una causa contro Google per motivi di antitrust. Nonostante questo, la commissione ha votato 5-0 contro le accuse.
La maggior parte dei titoli si concentrano sul numero di visite dei dirigenti e lobbisti di Google alla Casa Bianca durante l’inchiesta. Anche il giornale nella sua copertura ha catalogato gli eventi come un “segno della portata del gigante di Internet a Washington” che implica che l’accesso a Obama alla Casa Bianca è una sorta di un sottoprodotto di influenza globale.
Ma in questo caso si sta ponendo il carrello ben prima del cavallo.
Da quando il presidente Obama è entrato in carica, The Wall Street Journal riporta, dipendenti di Google “hanno visitato la Casa Bianca per le riunioni con alti funzionari circa 230 volte, o una media di circa una volta alla settimana. “Dei Top lobbisti di Google hanno avuto più di 60 incontri alla Casa Bianca . Questo è più incontri che la maggior parte di Mr. Obama con i membri del Gabinetto.
Per gli osservatori della Casa Bianca  niente di tutto questo dovrebbe essere una sorpresa. Una delle persone in piedi accanto a Mr. Obama nella sua prima conferenza stampa dopo aver vinto le elezioni presidenziali del 2008 è stato Eric Schmidt, il presidente esecutivo di Google . Mentre il signor Schmidt non è registrato come donante alla campagna di Obama , riporta la National Public Radio, “la moglie di Eric Schmidt, Wendy, ha dato alla campagne di Obama 47,600 dollari. E Wendy Schmidt e’ dietro la precoce carriera politica di Obama donando 2.000 dollari a la sua corsa al Senato nel 2004. ”
Ma alcuni contributi sono inestimabili e sottolineano la natura dell’impegno verso Mr. Obama da qualcuna compaagnia. La notte delle elezioni di novembre 2012, il signor Schmidt ha gestito personalmente il software elettore-partecipazione personalizzato per Mr. Obama . Entro la fine del mese elettorale, il Wall Street Journal riporta, la FTC ha deciso di non sporgere denuncia contro Google .
Durante la campagna del 2012 per la rielezione,i dipendenti di  Google erano la seconda più grande fonte di donazioni per la campagna di Obama, riporta il visitatore quotidiano.
Forse Google dovrebbe solo cambiare il suo nome in Obamoogle, ma non sarebbe la prima volta che una società corre in favore di un’amministrazione. Tra lobbisti e donazioni politiche, e anche rapporti di lunga data, gli americani hanno visto come alcune aziende riescono a garantire più favoriti rapporti di Stato con i presidenti e le loro amministrazioni.
Chi può dimenticare le crisi isteriche della sinistra, lamentando il rapporto tra Halliburton e George W. Bush alla Casa Bianca ? Eppure, non ci sono lamentele da sinistra sulla crescente dipendenza di Mr. Obama con  Google e la sua straordinaria facilita di accesso alla sua amministrazione. In realtà, alcuni liberali, tra cui quello con cui apparso Fox News su questo argomento,hanno spiegate questo come nulla di nuovo, succede tutto il tempo, ed è solo il modo in cui Washington lavora.
Beh, non proprio. Questo è del tutto diverso. Relazioni speciali sono una cosa, e lavorare direttamente nella campagna per la rielezione del presidente solo per avere un ente federale a mano per una causa federale nello stesso mese è un’altra.
Tutte le parti, naturalmente, negano che una delle attività tra Google e la Casa Bianca aveva nulla a che fare con la decisione della FTC di non citare in giudizio l’azienda. Allo stesso tempo, l’agenzia rifiuta di rilasciare il resto del rapporto che è stato accidentalmente inviato al Wall Street Journal . Anche con questo quadro incompleto, gli americani dovrebbero essere estremamente preoccupati per l’aspetto che se si aiuta Barack Obama con ciò che vuole, lo Stato di diritto si piega, o anche crolla per voi.
Questa rivelazione circa l’intensità della Obama- Google fusione aiuta anche a spiegare la determinazione della Federal Communications Commission per regolamentare Internet con il pretesto di “neutralità della rete”. I grandi vincitori di questa azione? I sostenitori Google di Obama(tramite YouTube) e Netflix, che ora consumano almeno il 50 per cento della larghezza di banda Internet.
Google è stato letteralmente accanto a  Mr. Obama dall’inizio della sua presidenza. Ora sono i beneficiari della politica dell’amministrazione. In questi giorni sul fronte interno e internazionale, sta diventando sempre più difficile da determinare per quali Mr. Obama lavora.
* Tammy Bruce è un talk-show radiofonico, autore e Fox News collaboratore.
http://www.washingtontimes.com/news/2015/mar/30/tammy-bruce-obamagoogle-connection/?page=all#pagebreak
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REAZIONE:APPARTHEID
CREDO CHE NON C’E’ BISOGNO PER CHI HA LETTO QUESTE MIE PUBBLICAZIONI DI CHIARIRE CHE QUESTO NULLA C’ENTRA CON LA NUOVA ERA MA SOLO CON LO SFRUTTAMENTO DEI SUOI BENEFICI CHE HO COMBATTUTO ACCANITAMENTE.
IL SIGNOR SMITH DALTRONDE COME SI SA E’ STATO SEPARATO DELLA PARTE SCIENTIFICO-TECNICO-CONCETTUALE DI GOOGLE E E LO SI HA NOMINATO IN UNA CARICA “POLITICO-ECONOMICA”.LE MIE DIFFERENZE CON LUI E CON OBAMA SONO PIU CHE NOTE,UN VERO MURO FRA DI LORO E LA NUOVA ERA,E E MI RISPARMIA ABBONDARE SU QUESTO.E CI TENGO A SOTTOLINEARLO.
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-PUNTO 3:E POI,IL GIORNO DOPO QUESTO SCRITTO MI SONO TROVATO SUL GIORNALE FRANCESE "LE MONDE" CON DUE NOTE CHE,ORA SI,LONTANO DALLO SCHERZO AVEVANO PER ME TONI ASSAI DRAMATICI E HO FATTO UN'ALTRO SCRITTO AL RIGUARDO.VEDILO:

5 APRILE 2015:IO VITTIMA DI PRESSIONI PER PARTE DELLA PPUBBLICITA DI GOOGLE,PORTATO A PROCESSO IN FRANCIA E USA
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INTRODUZIONE:VEDI DI SEGUITO DUE NOTE STAMPA SU LE MONDE E DOPO IL MIO COMMENTO:
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1-SU LE MONDE,Pixels
Un nouveau front s’ouvre contre Google en France
LE MONDE ECONOMIE | 04.04.2015 à 10h26, Mis à jour le 04.04.2015 à 10h28 | Par Anne Eveno

De l'autre côté de l'Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le droit de la consommation  sur l’abandon d’une enquête pour anticoncurrence qui visait Google en 2012.





Les feux se concentrent sur Google. Cette fois, l’offensive part du Palais du Luxembourg. Plusieurs sénateurs ont déposé, jeudi 2 avril, un amendement au projet de loi Macron pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques, dont l’examen aura lieu la semaine prochaine. Les auteurs, tous élus de l’opposition – Catherine Morin-Desailly (UDI-UC, Seine-Maritime), Bruno Retailleau (UMP, Vendée), Jean Bizet (UMP, Manche), Jean-Claude Lenoir (UMP, Orne) et Chantal Jouanno (UDI-UC, Paris) –, estiment urgent de se donner les moyens d’encadrer les pratiques des moteurs de recherche : « Cet objectif passe par la mise en place d’une régulation ex ante [au préalable] », expliquent-ils dans l’exposé des motifs de l’amendement.
S’ils ne nomment pas Google explicitement dans le texte, c’est bien le géant américain qui est dans le collimateur des parlementaires. « Nous avons la conviction que Google favorise ses propres services et nous estimons qu’il faut réguler cette situation, sinon les autres entreprises ne peuvent se développer », explique au Monde Catherine Morin-Desailly.
L’initiative sénatoriale – qualifiée de « première mondiale » par ses promoteurs – intervient dans un moment particulier pour Google, qui détient sur le marché de la recherche sur Internet une part ultra-dominante, 77 % aux Etats-Unis et plus de 90 % en Europe. De l’autre côté de l’Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le droit de la consommation…

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image: http://s1.lemde.fr/image/2015/04/04/92×61/4609718_7_c72b_de-l-autre-cote-de-l-atlantique-un-senateur_c1bba49bc0ac76608bafd725d18d2e7b.jpg
De l'autre côté de l'Atlantique, un sénateur américain a annoncé vouloir entendre l’agence fédérale américaine chargée de faire respecter le droit de la consommation  sur l’abandon d’une enquête pour anticoncurrence qui visait Google en 2012.

Un nouveau front s’ouvre contre Google en France

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http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/04/04/un-nouveau-front-s-ouvre-pour-google_4609720_4408996.html
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-NOTA 2:
Économie
Le Sénat américain va enquêter sur Google
Le Monde.fr | 31.03.2015 à 08h21,Mis à jour le 31.03.2015 à 10h10 | Par Corine Lesnes (San Francisco, correspondante)
La commission sénatoriale veut en savoir plus sur les contacts entre Google et l’administration Obama pour établir si celle-ci a aidé la firme à éviter les sanctions en faisant pression sur la FTC, l’agence fédérale chargée de la défense des consommateurs.
Le Sénat américain va se pencher sur les pratiques de Google, et sur les conditions dans lesquelles le moteur de recherche a été blanchi, en 2013, des accusations d’abus de position dominante par la FTC, l’agence fédérale chargée de la défense des consommateurs.
Le 20 mars, le Wall Street Journal avait révélé que les commissaires de la FTC avaient décidé de classer le dossier, alors que les experts de sa division de la concurrence avaient recommandé d’engager des poursuites. Le quotidien avait eu accès à un rapport préliminaire, qui n’aurait pas dû être rendu public mais qu’il avait obtenu dans le cadre d’une requête invoquant la loi sur la liberté de l’information.
Lire aussi : Révélations sur les drôles de pratiques de Google
Ce rapport, daté de 2012, concluait que le géant de Mountain View favorisait ses propres services dans ses référencements, qu’il copiait les données de ses concurrents, comme Yelp ou Tripadvisor, et exerçait des pressions sur les annonceurs pour qu’ils choisissent sa propre régie publicitaire, AdWords.
Le sénateur républicain de l’Utah, Mike Lee, qui préside le comité anti-trust de la commission des lois du Sénat, a indiqué, lundi 30 mars, au National Journal, qu’il s’intéresse aux différents aspects du dossier : « Comment la FTC a-t-elle pu laisser filtrer un rapport confidentiel, et quelles conversations, le cas échéant, la FTC ou Google ont-ils eues avec la Maison Blanche sur les investigations en cours ? »

230 visites à la Maison Blanche

Il ne s’agit pas, dans l’immédiat, d’enquêter sur le fond de l’affaire elle-même, à savoir la plainte pour abus de position dominante portée par Microsoft et d’autres concurrents de Google, a précisé le sénateur. L’élu républicain souhaite en savoir plus sur les contacts entre Google et l’administration Obama pour établir si celle-ci a aidé la firme à éviter les sanctions en faisant pression sur la FTC, agence statutairement indépendante.
La semaine dernière, le Wall Street Journal a révélé que des employés de Google avaient été reçus quelque 230 fois à la Maison Blanche depuis l’élection de Barack Obama en 2008, soit une fois par semaine en moyenne. Le PDG de Google, Eric Schmidt a soutenu M. Obama depuis les débuts et il a joué le rôle de conseiller informel auprès du président.
Google a réagi au décompte du Wall Street Journal par la voix de sa vice-présidente pour les communications, Rachel Whetstone. Celle-ci a affirmé qu’il n’avait en aucun cas été question de la plainte portée devant la FTC dans les conversations des employés de la firme à la Maison Blanche.
 Corine Lesnes (San Francisco, correspondante)
Correspondante du Monde aux Etats-Unis basée à San Francisco
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http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/03/31/le-senat-americain-va-enqueter-sur-google_4606211_3234.html
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COMMENTO:IO HO SUBITO UNA GRAVE PRESSIONE PER PARTE DI GOOGLE A SCOPO DI NON SMETTERE DI FARE PUBBLICITA IN ADSENSE E ADWORD.MI E’ STATO IMPEDITO DI CANCELLARE IL MIO ACCOUNT,INATTIVO INOLTRE DA MOLTI ANNI,MALGRADO LA PROCEDURA SIA PREVISTA NEL CONTRATTO AL MOMENTO DI APRIRE L’ACCOUNT.CONCRETAMENTE IL MIO ACOUNT E’ STATO APERTO IN URUGUAY,SUDAMERICA,DOPO NEL 2012 MI SONO TRANSFERITO IN ITALIA E AL MOMENTO DI CAMBIARE LA SEDE DELL’ACCOUNT MO E’ STATO IMPEDITO:COSA DOVEVO FARE,RITORNARE IN URUGUAY?SI,QUESTO HO DOVUTO FARE E PURTROPPO ANCORA NON MI E’ STATO CANCELLATO L’ACCOUNT.TALMENTE GRAVE E’ L’INFRAZIONE E VIOLAZIONE DI GOOGLE DELLE SUE PROPIE NORMATIVE.
DI SEGUITO VI FACCIO VEDERE LA DENUNCIA PUBBLICATA DAL 2012 IN UN DOCUMENTO PUBBLICO RIPORTATO IN UN LINK DI UN MIO BLOG:
A-CLICCA PER VEDERE IL BLOG:
http://cianciminotortorici.blogspot.com/?mkt=it-it
-DOPO CLICCA SUL LINK INTITOLATO:
EPILOGO:RIASSUNTO DI EBAY E MERCADO LIBRE(PIU ANEXO PUBBLICITA)
-O CLICCA QUI L’INDIRIZZO PER VEDERE DIRETTAMENTE IL DOCUMENTO PUBBLICO:
VORREI DISTACCARE CHE L’ACCUSA NULLA TOGLIE ALL’AVANGUARDIA DI GOOGLE DELLA NUOVA ERA IN QUANTO E’ INDIRIZZATA AL MOTORE DI RICERCA DI QUI QUELLA NON FA PARTE.L’ACCUSA INSOMMA NON E’ ALLA PARTE TECNICA,SCIENTIFICA E CONCETTUALE DELLA NUOVA ERA ADOTATTA DA GOOGLE MA AL SUO MOTORE DI RICERCA E ALLA GESTIONE IMPRESARIALE ED ECONOMICA PRESIEDUTA DA ERIC SMITH.

-VEDI TUTTI QUESTI SCRITTI DIRETTAMENTE SUL MIO BLOG DEI "FATTI INTERNI":

http://dottgiuseppeciancimino.bloog.it/faites-internes-1continuation-198.html

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-E COSI SU "LA STAMPA" DI ITALIA:
http://www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif
tecnologia
Google e Antitrust Usa: tattiche monopoliste denunciate nel 2012, spunta il rapporto
Ma la Federal Trade Commission decise di non procedere. L'azienda: "Le speculazioni su potenziali danni a concorrenti e consumatori si sono rivelate totalmente sbagliate"
WASHINGTON
La Federal Trade Commission degli Stati Uniti aveva concluso nel 2012 che Google usava tattiche anticompetitive e abusava dei suo status di monopolio, ad esempio privilegiando nei risultati delle ricerche link e indicazioni che portassero ai suoi stessi servizi. È uno dei giudizi più duri finora espresso sul comportamento di Google, rivela il Wall Street Journal, sottolineando tuttavia che la Commissione decise all'unanimità di non procedere oltre dopo che Google aveva acconsentito a operare alcuni cambiamenti. L'indagine ha richiesto 19 mesi e analizzato 9 milioni di pagine di documenti, oltre a svariate ore di testimonianze.

Si tratta comunque, scrive il giornale, di uno dei documenti più severi sull’argomento e che avrebbe potuto innescare un caso legale di alto profilo, paragonabile alla causa lanciata dal dipartimento di Giustizia contro Microsoft negli anni ’90.

Dalla documentazione della FTC emergerebbe che il comportamento di Google era dannoso sia per gli utenti online, sia sul piano dell’innovazione per quanto riguarda i mercati della ricerca del marketing online.
Google replica così: "Speculazioni su potenziali danni a concorrenti e consumatori si sono rivelate totalmente sbagliate. Da quando l'indagine si è conclusa due anni fa, le modalità in cui le persone accedono all'informazione online sono cresciute in maniera sostanziale, offrendo ai consumatori una possibilità di scelta più ampia che mai. E i nostri concorrenti stanno prosperando. Per esempio, Yelp si definisce il motore de facto per le ricerche locali e ha fatto registrare una crescita dei ricavi del 350% negli ultimi 4 anni. TripAdvisor dichiara di essere il più grande marchio travel del mondo web e ha quasi raddoppiato i suoi ricavi negli ultimi 4 anni".

http://www.lastampa.it/2015/03/25/tecnologia/google-e-antitrust-usa-tattiche-dannose-denunciate-nel-spunta-il-rapporto-voXbPZGNyu4ml3kJs9EksI/pagina.html

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-ATTUALIZAZZIONI CHE COMPLETANO IL PANORAMA INFORMATIVO:

SULL'ARGOMENO OLTRE A USA E FRANCIA SI OCCUPA ANCHE  L'UNIONE EUROPEA.C'E' MOLTISSIMA LETTERATURA GIORNALISTICA AL RIGUARDO.IO HO SCELTO ALCUNE NOTE SU "LA STAMPA"  SOLTANTO PERCHE SONO QUELLE CHE MI SONO CAPITATE PER PRIMA:
-NOTA A:
 http://www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif
tecnologia

“L’Antitrust Ue pronta ad aprire una procedura contro Google”
La notizia è stata pubblicata sul Wall Street Journal. Sulla questione era intervenuto anche il presidente americano Obama

Tra poche settimane l’antitrust europea potrebbe aprire una procedura contro Google. È la notizia con cui questa mattina apre il Wall Street Journal, citando alcune fonti secondo le quali la Commissione europea avrebbe chiesto alle aziende che hanno denunciato Google il permesso di pubblicare alcune informazioni depositate inizialmente in via confidenziale.

Il provvedimento contro Google sarebbe il più grosso da quello intentato ai danni di Microsoft, che enl 2012 ha pagato all’Unione Europea 1,7 miliardi di euro di multe.

La notizia riportata dal Wall Street Journal, però, potrebbe diventare un caso anche a livello politico. Neanche un mese fa, infatti, il presidente americano Barack Obama era intervenuto sulla questione (su cui in Europa si dibatte da anni), accusando il vecchio continente di non saper stare alle regole del mercato: «Gli Stati Uniti hanno creato e perfezionato Internet - aveva detto Obama - mentre voi sapete solo tassare».

http://www.lastampa.it/2015/04/02/tecnologia/lantitrust-ue-pronta-ad-aprire-una-procedura-contro-google-fMtfiZV70JfjW8DSVGnDbK/pagina.html
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-NOTA B: 
http://www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif
economia

L’Antitrust europea pronta a multare Google
La decisione il 15 aprile. Facebook nel mirino per violazioni della privacy



Mountain View (California), il quartier generale di Google

corrispondente da bruxelles
Gli uomini dell’Antitrust europeo non commentano e non è una sorpresa. Davanti alla notizia rimbalzata dall’America secondo cui la Commissione Ue sarebbe entrata nell’ultima fase dell’inchiesta per abuso di posizione dominante contro Google, i portavoce rispondono che «l’indagine è in corso e non c’è nulla da dire». Il Wall Street Journal ha scritto che il contenzioso sarebbe sul punto di maturare e una decisione, con possibile multa annessa, sarebbe prossima. «È la foto attuale del caso», conferma una fonte Ue. Il collegio, aggiunge, potrebbe esaminare il dossier in aprile: «Forse già nella riunione del 15, ma dipende come procederanno i contatti nei prossimi giorni».

La multinazionale di Mountain View rischia grosso. Tre anni fa Microsoft si è guadagnata una sanzione da 1,8 miliardi di dollari per non aver dato agli utenti di Windows una reale libertà di scelta sul browser per Internet. La presunta colpa che vede Google sotto inchiesta da 5 anni sarebbe in questo caso triplice: avrebbe utilizzato contenuti di aziende concorrenti e no spacciandoli per propri; avrebbe fatto apparire nelle ricerche le cose di casa rispetto alle altre; avrebbe tratto vantaggi sfruttando la sue posizione dominante. Gli interessati, naturalmente, negano. L’approssimarsi della fine, secondo le indiscrezioni, sarebbe segnalata dal fatto che la Commissione Ue avrebbe chiesto alle aziende che hanno denunciato Google il permesso di pubblicare le informazioni depositate, dati e prove che inizialmente avevano un carattere confidenziale. Secondo fonti industriali, alle società sarebbe stato domandato di rispondere «in qualche giorno», indice dell’urgenza con cui Bruxelles intenderebbe avanzare.

Google ha un contenzioso aperto anche sul diritto all’oblio che una sentenza della Corte Ue del maggio scorso vuole sia garantito a chi lo desidera. Lo scorso novembre l’Europarlamento ha approvato un parere non vincolante secondo cui i motori di ricerca dovrebbero essere separati dall’industria dei servizi, il che comporterebbe lo spezzatino di Mountain View. «Per la questione Antitrust - spiegano comunque a Bruxelles -, la Commissione cercherà un accomodamento, prima di agire in modo punitivo». A metà mese la questione potrebbe essere chiarita.

Nel frattempo, si scopre dal Financial Times che anche la Apple sarebbe finita sotto i riflettori dell’Ue che starebbe esaminando gli accordi di Cupertino con le case discografiche finalizzati alla diffusione dei brani sulla piattaforma iTunes: i colloqui avverrebbero nell’ambito dell’inchiesta dei servizi musicali in streaming.
Rischia pure Facebook, sospettata di violare la privacy degli utenti. Sei Paesi hanno lanciato un’inchiesta sulla regina dei social media, con Francia, Spagna e Italia che si sarebbero unite all’azione già avviata da Germania, Olanda e Belgio. Si vuole fare luce sulla gestione dei dati personali di oltre 300 milioni di utenti continentali che sarebbero intrecciati con quelli di Instagram e WhatsApp per affinare l’invio di pubblicità. Galeotto sarebbe il «like» che si decreta per le cose di proprio gusto. I garanti della Privacy pensano che possa non essere solo un click fine a se stesso.
 http://www.lastampa.it/2015/04/03/economia/lue-pronta-a-multare-google-pHwlThO70CxKqio8bcHx1I/pagina.html
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-NOTA C:
 http://www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif

tecnologia

Obama e l’economia del web: “L’Europa ci combatte con le leggi perché non può competere sul mercato”
Il presidente americano attacca le proposte comunitarie su privacy e trasparenza fiscale, ma Bruxelles puntualizza: le regole sono uguali per tutte le imprese, sia nazionali che globali

Il presidente americano Barack Obama
Corrispondente da Bruxelles
Barack Obama non crede alla buona fede dell’Antitrust a dodici stelle che, da anni, tiene sotto osservazione i giganti americani del pianeta Internet, Google, Facebook e Amazon. Bruxelles si muove per comprendere le dinamiche che sovrintendono alla gestione dei miliardi e miliardi di dati che i colossi della grande rete tengono nei loro computer. È uno duello intenso, senza esclusione di colpi. La casa di Mountain View si è persino rifiutata di dire alla Corte di Giustizia Ue dove sono situati fisicamente i centri in cui immagazzina numeri, indirizzi, gusti e ricerche. C’è chi dice che il coinvolgimento di Google, insieme con Amazon, nell’inchiesta sui possibili aiuti di stati ottenuti dal Fisco in Irlanda e Lussemburgo non sia casuale, ma solo l’ennesima battaglia nella grande quella per il controllo del web.

Il presidente degli Stati Uniti ha qualche dubbio e non ha problemi ad ammetterlo. «Talvolta la risposta europea è guidata più da intenti commerciali che ad altro», ha affermato in una intervista concessa a Re/code , una delle principali testate tecnologiche del globo terracqueo. «Ci sono paesi come la Germania - ha spiegato - che alla luce del passato con la Stasi (la polizia segreta della Germania Est, ndr) sono molto sensibili alla questione della riservatezza». Tuttavia, ha insistito, «qualche volta le loro aziende che non riescono a competere con le nostre cercano semplicemente di alzare degli ostacoli per impedirci di essere ben presenti sul mercati».

Un’azione ispirata dalla politica, dunque, una politica commerciale di contenimento, cosa che viene seccamente negata dai portavoce della Commissione. A Bruxelles si risponde che «l’idea che l’Ue cerchi di proteggere le sue aziende non riflette la realtà», perché l’Europa si batte per fare in modo che «tutti possano stare sul mercato con le medesime regole». Il tutto, non senza qualche evidente fastidio e difficoltà. Soprattutto per la dote straordinaria delle multinazionali di profittare i buchi nei sistemi fiscali e usare l’Europa quasi come fosse un paradiso fiscale. Colpa degli stati, certo. Perché le istituzioni, potendo, sarebbero liete di archiviare le anomalie.

Il clima è cambiato. La «Google tax» antielusione da applicare sui maggiori protagonisti del web annunciata in dicembre nel Regno Unito lo conferma. Potrebbe essere un esempio per tutti. La Commissione europea investiga da anni la possibilità che Google usi e abusi della sua potenza per fare accordi di ricerca con le imprese. Ora il colosso si è impegnato a modificare alcuni meccanismi. E’ un passo avanti che, però, non ha ancora convinto del tutto i critici della motore di ricerca più amato. Il parlamento europeo ha anche approvato un testo non vincolante che suggerisce la possibilità che Google sia spacchettata, da un lato le ricerche e dall’altro i servizi. Agli americani non è piaciuto.

Nel programma della nuova Commissione uscito prima di Natale si legge che l’Europa intende rinegoziare le regole secondo le quali le compagnie americane possono esportare i dati riservati e no dei cittadini europei, ipotesi che sembra essere molto gradita dai consumatori e clienti che vivono dalle nostre aperti. I governativi americani assicurano che non ci sono rischi di irregolarità, ma è un argomento che raccoglie relativi consensi. A Bruxelles si studia con metodo come e quando intervenire.

Nel frattempo, si tende la mano. «Il nostro ruolo è quello di garantire che le imprese che lavorano nel nostro continente giochino con le stesse regole - ha spiegato un portavoce Ue -, non se ne può fare a meno se si intende tutelare gli interessi dei cittadini». Al contempo, si punta a incoraggiare le imprese a investire in un mercata da 500 milioni di consumatori, piuttosto che in ventotto paesi guidati da regole diverse. Insomma, è la teoria, si lavora perché tutti siano uguali come dice la Costituzione americana. Anche se, si scopre spesso, certe multinazionali sono più uguali di altre.
http://www.lastampa.it/2015/02/25/tecnologia/obama-e-leconomia-del-web-leuropa-ci-combatte-con-le-leggi-perch-non-pu-competere-sul-mercato-pg9DD31o9azF0f91K62lIL/pagina.html
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-NOTA D:
http://www.lastampa.it/common/img/lastampatop2.gif
tecnologia
Google ci fa credere di essere più intelligenti di quello che siamo
Gli strumenti di ricerca via web causano confusione “tra ciò che effettivamente si sa e ciò che si crede di sapere”. Lo afferma uno studio della Yale University


Google fa credere alle persone di essere più intelligenti di quanto non siano realmente. Sono le conclusioni cui giunge un’accurata indagine condotta da tre ricercatori in psicologia della Yale University, pubblicata sul Journal of Experimental Psychology.

Avere a portata di mano Internet e i motori di ricerca può determinare negli individui un’errata percezione della propria conoscenza, sopravvalutando le proprie capacità – sostengono nel loro studio Matthew Fisher, Mariel K. Goddu, e Frank C. Keil che hanno sottoposto ad una serie di test con domande, diverse centinaia di adulti, divisi in gruppi.

Di norma, il soggetto riesce a distinguere abbastanza chiaramente quando un’informazione è presa da una fonte esterna, come un libro e un esperto, o, invece, è frutto del suo sapere memorizzato.
Internet, che amplia in maniera potenzialmente infinita l’accesso alla conoscenza, tende però a causare un effetto sistematico di confusione “tra ciò che effettivamente si sa e ciò che si crede di sapere”.

Nell’individuo, che si avvale di Google o Yahoo, si crea un’illusione di sapere che lo porta a non essere più in grado di rendersi conto di quanto il proprio conoscere derivi da sé stesso o dalla tecnologia online. D’altro canto, tra chi ricorre agli strumenti via web è stata anche riscontrata l’attitudine a pensare che i loro cervelli siano più attivi rispetto ad altri che utilizzano metodi differenti.

La diffusione di smartphone e tablet può aggravare questo problema mettendo a disposizione, ovunque e continuamente, la connessione a Internet. A rischiare di più sono i bambini che crescono immersi in un ambiente in cui è sempre possibile reperire informazioni online.

Ma, sovrastimare la propria conoscenza, secondo i ricercatori, può comportare pericoli anche in campo politico e, in generale, in quei settori dove si assumono decisioni ad alto livello. “In questi ambiti, – sottolinea Matthew Fisher – è importante essere consapevoli delle proprie conoscenze e non presumere di sapere qualcosa che non si sa. Internet implica grandi benefici ma può rendere ancora più difficile raggiungere l’obiettivo di una conoscenza personale”. Risultato già di per sé non facile da ottenere nella vita.

http://www.lastampa.it/2015/04/06/tecnologia/lillusione-di-essere-pi-intelligenti-grazie-a-google-ZazTPZRBVxQwHyw8KR7Q3J/pagina.html
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COMMENTO FINALE:

IN PRINCIPIO IO HO VISTO LE PROCEDURE DELL'UNIONE EUROPEA CONTRO LE NUOVE TECNOLOGIE DELLE TELECOMUNICAZIONI COME UN ATTACO ALLA NUOVA ERA CHE NEL MEDESIMO TEMPO CERCAVA DI SFRUTTARE POLITICAMENTE A VANTAGGIO DI CERTE FIGURE POLITICHE E MI SONO NEGATO A DARE IL MIO CONSENSO A TALE PROCEDURE.COSI E' STATO NEL CASO MICROSOFT NEI TEMPI CHE MONTI ERA IL COMMISARIO DELL'ANTITRUT EUROPEO,O NEL PROPIO CASO GOOGLE CON LO SPAGNOLO ALMUDIA AL SUO POSTO.
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OGGI LA SITUAZIONE E' CAMBIATA:DA UNA PARTE SONO VENUTI FUORI LE MANIPULAZIONI INTERNAZIONALI,E PARTICOLARMENTE IN EUROPA,DEL SISTEMA IMPOSTIVO CIO CHE EVIDENTEMENTE SIGNIFICA UNO SFRUTTAMENTO DEI BENEFICI ECONOMICI,E NON SOLO,A FAVORE DEL NEOLIBERALIMO PER PARTE DEL SIGNOR SMITH;DA UN'ALTRO CANTO CON IL PASSO DEL TEMPO E IL MUTAMENTO DELLE SITUAZIONI POLITICI IN DIVERSI STATI,A FAVORE DI CONTROLLARE QUESTA SITUAZIONE SI SONO SOMMATTO ALTRI PAESI E LA PROTESTA E DIVENTATA GENERALIZZATA IN EUROPA,E PER FINIRE PER ME LA COSA IMPORTANTE E' STATA CHE NELLE INTENZIONI PUNITIVI DEI DIVERSI PAESI HA SPUNTATO LA SEPARAZIONE DELLA COSA AMMINISTRATIVA ED ECONOMICA DALLA PARTE SCIENTIFICO-TECNOLOGICA,E IN QUESTO SENSO ANCORA MEGLIO,LA SEPARAZIONE DEL MOTORE DI RICERCA SU QUI LA NUOVA ERA NON HA PARTE,DAGLI ASPETTI SCIENTIFICO-TECNICI E CONCETTUALI(FRA QUI LA VISIONE DEL MONDO SENZA LA QUALE OGGI GLOBALMENTE NULLA SI CREA,SI FABRICA O SI VENDE),NON TOCCANDO ALLORA IL MIDOLLO DELLA NUOVA ERA PRESENTE NEI GIGANTI DELLE TELECOMUNICAZIONI.E ALLORA SI,PURE MANTENENDOMI SCETTICO SULLE PROCEDURE ANTITRUST DELL'UNIONE EUROPEA,E CONTRARIO AD UNO SCONTRO USA-EUROPA IN QUESTO SENSO(1)HO DECISO SOMMARMI ALLA PROTESTA.

E CHIEDO RISPETTO E RICONOSCIMENTO PER L'EUROPA(NON MI RIFERISCO ADESSO ALL'UE):NON SI DIMENTICHI CHE IL WEB E' UNA CREAZIONE INGLESE E CHE IL SUCCESSO DELLE GRANDI AZIENDE DELLE TELECOMUNICAZIONI E' DOVUTO IN GRAN PARTE SE NON TUTTO,ALLA VISIONE DEL MONDO DELLA NUOVA ERA E I SUOI CONTRIBUTI SCIENTIFICI-TECNOLOGICI.LA NUOVA ERA NON VENGA SFRUTTTA NE POLITICAMENTE NE ECONOMICAMENTE DAI SUOI AVVERSARI SIA IN EUROPA CHE NEGLI STATI UNITI INSOMMA.
A MODO DI RIASSUNTO FINALE DIRO CHE NESSUNE DI QUESTE PROCEDURE CONTRO GOOGLE RIPORTATI SOPRA NUOCIONO NE L'ESSENZA DELLA NUOVA ERA NE LA AVANGUARDIA DI GOOGLE.

(1)MI SONO NEGATO ANCHE SIA AD UNA LOTTA DI MERCATI USA-EUROPA CHE AI TRATTATI DI LIBERO SCAMBIO PERCHE CONSIDERO CHE ESSISTE GIA UNA COLABORAZIONE USA-EUROPA,E NON SOLO IN MATERIA DI TELECOMUNICAZIONI, E PER TANTO QUELLI ACCORDI SOLO AVREBBERO COME RISULTATO SNATURALIZZARE E MINIMIZZARE L'INCIDENZA DELLA NUOVA ERA SIA NELLA SUA ESSENZA CHE NEI SUOI BENEFICI.

-PER CAPIRE TUTTO VEDI CUA,CLICCA:
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 http://cianciminotortoici.blogspot.com/2011/05/ex-googleora-vi-racconto-la-nuova-era.html

http://cianciminotortoici.blogspot.com/2011/08/e-se-sta-cosa-la-dice-luigoogle.html
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19 APRILE 2015:ATTUALIZAZIONE

15 APRILE 2015:L’UNIONE EUROPEA ATTACA LA NUOVA ERA
Économie
Bruxelles accuse Google d’abus de position dominante
LE MONDE ECONOMIE | 15.04.2015 à 07h54 ,Mis à jour le 15.04.2015 à 16h26 | Par Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen)
Aux Etats-Unis, la Federal and Trade Commission a blanchi Google d’abus de position dominante, en 2013.
Aux  Etats-Units la Federal and Trade commision a blanchi Google d’abus de position dominante en 2013.AP/MARCIO JOSE SANCHEZ
Pour Google, c’est un coup dur. Après près de cinq ans d’enquête sur un éventuel abus de position dominante, la Commission européenne a finalement décidé, mercredi 15 avril, d’envoyer au groupe Internet américain ce que l’on appelle dans le jargon bruxellois une « communication de griefs », c’est-à-dire un acte d’accusation en bonne et due forme. Est tout particulièrement visé le service « Google shopping » et le fait que Google privilégie systématiquement ce service par rapport aux autres services/comparateurs de prix en ligne
« Je crains que l’entreprise n’ait injustement avantagé son propre service de comparaison de prix, en violation des règles de l’Union européenne en matière d’ententes et d’abus de position dominante », a déclaré, mercredi à mi-journée, la commissaire européenne en charge de la concurrence, la Danoise Margrete Vestager.
La Commission craint que les utilisateurs de Google « ne voient pas nécessairement les résultats les plus pertinents en réponse à leurs requêtes ».
La direction de Google a déclaré qu’elle a « hâte de discuter avec la Commission européenne ».
Si cette décision ne préjuge pas d’une sanction ultérieure contre Google, c’est la première fois dans son histoire que le groupe américain est reconnu coupable d’avoir enfreint la loi antitrust. De quoi écorner un peu l’image de ce géant, fondé en 1998, dont la domination, sur la recherche en ligne, le mobile, le traitement des données personnelles de manière générale inquiète de plus en plus, surtout en Europe.
Aux Etats-Unis, la Federal Trade Commission (FTC), responsable des questions de concurrence et de protection du consommateur, avait finalement blanchi Google d’abus de position dominante, en 2013.
Lire aussi : Le Sénat américain va enquêter sur Google
Par ailleurs, Bruxelles a aussi annoncé, mercredi, avoir décidé de lancer une enquête formelle sur d’éventuelles infractions à la loi antitrust concernant Android, le système d’exploitation du groupe américain. Une enquête informelle était en cours depuis des dépôts de plainte, en 2013.

Deux mois pour se défendre

La trentaine de plaignants (dont Microsoft) qui accusent la multinationale de mettre davantage en avant ses services que les leurs dans les résultats de recherche des internautes sur son moteur et réclamaient depuis longtemps la « manière forte » contre Google se réjouit, logiquement, de cette décision.
« Cette notification des griefs représente un pas significatif pour faire stopper les pratiques anticoncurrentielles de Google, qui ont nui à l’innovation et au choix des consommateurs », avaient d’ailleurs réagi, par avance, mardi 14 avril, une des associations de plaignants, FairSearch Europe, dans l’attente de la confirmation de la décision de Bruxelles.
A dater de l’envoi de cette notification, Google dispose de deux mois (pouvant être prolongés d’un mois) pour préparer sa défense. Puis pourrait suivre une audition organisée par la Commission. Cette dernière ne rendra sa décision qu’à l’issue de ces étapes, c’est-à-dire au plus tôt fin 2015.

Un accord négocié n’est pas à exclure

Le géant de l’Internet risque une amende pouvant aller jusqu’à 10 % de son chiffre d’affaires mondial (soit plus de 6 milliards d’euros). Mais ce ne serait pas le pire pour un groupe aussi riche (66 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2014, soit 62 milliards d’euros, pour 14 milliards de dollars de profits).
La Commission pourrait surtout lui imposer des actions « correctives » de nature à transformer son modèle économique. « Peut-être une séparation radicale, dans le résultat des recherches, entre les liens sponsorisés et les autres résultats de recherche », suggère un bon connaisseur bruxellois du dossier.
Bruxelles ira-t-elle jusqu’à recommander un démantèlement du géant américain, comme l’ont demandé les eurodéputés, qui ont voté, symboliquement, en novembre 2014, en faveur d’une scission entre le moteur de recherche et les autres services commerciaux du groupe ? C’est très peu probable, estime une source proche du dossier.
Mais il n’est pas non plus exclu que, malgré l’envoi de la notification de griefs, Google et la Commission parviennent quand même à un accord négocié, dans les mois qui viennent, sans sanction ni imposition d’actions correctives, Google s’engageant à prendre des mesures de son propre chef. Le groupe américain étant très soucieux de préserver sa réputation en Europe, cette voie est tout à fait possible.
Lire aussi : Un nouveau front s’ouvre contre Google en France
David Wood, l’avocat d’Icomp, un syndicat de sociétés Web regroupant des plaignants contre Google (dont la britannique Foundem et Microsoft), reconnaît que cette option est plausible. Mais, estime-t-il, « le fait d’envoyer une notification de griefs à Google donne quand même à la Commission une bien meilleure position de négociation pour parvenir à un accord sur des mesures correctives ».

Rupture dans l’approche européenne

La décision prise par Mme Vestager et les services de la puissante « direction générale à la concurrence » de la Commission européenne marque une rupture complète avec la politique suivie ces quatre dernières années par Bruxelles vis-à-vis de Google.
Depuis l’ouverture formelle de l’enquête, en novembre 2010, à la suite de trois plaintes initiales de petites sociétés (l’allemande Ciao, la britannique Foundem et la française Ejustice.fr), Joaquin Almunia, le prédécesseur de Mme Vestager, n’a jamais voulu en arriver à un acte d’accusation et a cherché, par trois fois, la voie de la conciliation.
Mais il a fini par renoncer à cette stratégie, sous la pression des plaignants, de quelques politiques (notamment le ministre de l’économie allemand Sigmar Gabriel et son homologue français Arnaud Montebourg, montés en première ligne mi-2014) et d’autres commissaires au sein de la précédente Commission Manuel Barroso (dont l’allemand Gunther Oettinger, actuel commissaire chargé du numérique, très remonté alors contre Google).
Tous estimaient que les améliorations proposées par le géant de l’Internet à la Commission ne corrigeraient qu’à la marge, voire, au contraire, aggraveraient la situation dominante de son moteur sur le Web. Aujourd’hui, en Europe, plus de 80 % des recherches en ligne sont toujours effectuées en utilisant Google.
Lire aussi : Opération séduction de Google France
La décision de Bruxelles concernant Google est sans précédent, depuis les jugements européens concernant Microsoft, au début des années 2000, qui a dû au total verser plus de 2 milliards d’euros d’amendes. Cela va donner de l’eau au moulin de ceux qui disent que l’Europe « en veut » à Google et plus généralement au high-tech américain.
L’acte d’accusation de la Commission s’ajoute en effet à une série, ces dernières années, de réactions des Européens contre de nouveaux « modèles économiques » : interdiction d’Uber dans certains pays, instauration de taxes « anti-Google » en Allemagne et en Espagne, enquêtes européennes sur des aides d’Etat illégales qui auraient bénéficié à Apple (en Irlande) ou à Facebook (au Luxembourg)…
 Cécile Ducourtieux (Bruxelles, bureau européen) Correspondante à Bruxelles
http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/04/15/bruxelles-accuse-google-d-abus-de-position-dominante_4615967_3234.html
REAZIONE:COSI COME AI TEMPI DI MONTI COMMISARIO ANTITRUST DELL’UNIONE EUROPEA LA NUOVA ERA NON HA APOGGIATO LE SANZIONI A MICROSOFT PERCHE ERA UN ATTACO ALLA NUOVA ERA PER SCOPI POLITICI,OGGI NON APOGGIA QUESTA AZIONE DELL’UNIONE EUROPEA.ECCEDE LA PUNIZIONE DEL MOTORE DI RICERCA E IL TRATTAMENTO DEI DATI PERSONALI PRETENDENDO ANCHE PUNIRE GLI ASPETTI CONCETTUALI SCIENTIFICO-TECNICI E LA SUA VISIONE DEL MONDO PER LA QUALE  GOOGLE E’ AVANGUARDIA ,QUANDO SI RIFERISCE A ABUSO DI POSIZIONE DOMINANTE ANCHE “DEL MOBILE:”domination, sur la recherche en ligne, le mobile, le traitement des données personnelles de manière générale”
NO,SUL MOBILE GOOGLE E’ AVANGUARDIA E NON ABUSATORE DI UN BEL NIENTE.
OVVIAMENTE NELL’UE IL NEOLIBERALISMO NON POTEVA NON FARE SENTIRE LA SUA VOCE.
PER QUANTO RIGUARDA ALLE RICERCHE,LA PUBBLICITA E IL TRATAMENTO DEI DATI PERSONALI NON RIGUARDANO DIRETTAMENTE ALLA NUOVA ERA NEI SUOI ASPETTI CONCETTUALI MA ALLA PARTE AMMINISTRATIVA ED ECONOMICA E HO GIA FATTO SAPERE LA MIA OPINIONE RIFIUTANDO LA RISOLUZIONE DELLA FTC USA NEL 2013 COSA CHE IL SENATO AMERICANO STA RIVEDENDO ATTUALMENTE ALLO STESSO MODO CHE IL PARLAMENTO FRANCESE.
ANCHE SULLE TASSE MI SONO ESPRESSO A LUNGO CONSIDERANDO IL SISTEMA IDEATO DAL SIGNOR SMITH CENTRALIZATO NELL’IRLANDA E BRUXELLES UNA DEVIAZIONE DEI PROFITI DELLA NUOVA ERA VERSO IL NEOLIBERALISMO.
CONDANNO ANCHE CON VEEMENZA E NON CONDIVIDO QUESTO APOGGIO DI MICROSOFT ALL’ATTACO DELL’UNIONE EUROPEA VERSO ANDROID:OLTRE A DIFENDERE IL SUO MOTORE  DI RICERCA BING,FINIREBBE PER FAVORIRE GLI USURPATORI DEL GOVERNO GOLPISTA ITALIANO DI RENZI E I SUOI TELEMACI CHE STANNO PORTANDO AVANTI CON L’AUSPIZIO DI MICROSOFT LE INIZIATIVE DEL “DIGITALVENEZIA” E ALTRE DEL GENERE.
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-E COSI SU LA REPUBBLICA,TITOLARE:
L'antitrust Ue accusa Google   video   "Abuso di posizione dominante"
L’antitrust Ue accusa Google video “Abuso di posizione dominante”
E nel mirino c’è anche Android / Come funziona
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Reptv Bonanni: “Intesa ancora possibile”
Dalla privacy alle tasse: tutti i fronti aperti in EuropaRischia multe per 6 miliardi di dollari di E. AVESANI e S. COSIMI



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