domenica 27 aprile 2008

"IL PRIMO AMORE NON SI SCORDA MAI":LA TELEMEDICINA OGGI.

Sono molto lieto di potere scrivere questo post:vi portero un'informe sullo stato attuale della telemedicina,la mia creazione.La TELEMEDICINA è stato il punto di partenza della mia opera ed è stato il puntapiede inziale,oggi molto lontanissimo,della creazione tecnologica di tanti istrumenti di telecomunicazione fra cui il cellulare e il video-cellulare,di tanti servizzi,di tanti mutamenti socio culturali e del costume,di imporatantissimi produzioni industriali che oggi trascinano l'industra e hanno movimentato in avanti l'era industriale,insomma è stato l'inizio di una nuova era.Ma da quel momento,trascinato dalle vicende del dibattito intorno alle creazione tecnologiche della telecomunicazione avevo un po' scordato il mio primo amore per la Telemedicina:sono stato sconsiderato senz'altro scusati.
Riferiro su un articolo del giornale Francese "Le Figaro" che vi racconta lo stato attuale della prattica statale è privata della Telemedicina in Francia.E' in sintonia assoluta con i mei concetti sul libro:non è piu fanta-scienza la Telemedicina,oggi si fa con il sattellite e con l'aplicazione delle tecnologie e conoscenze dell'esperienza Spaziale(in questo caso Europea).E voglio ricordare quel concetto della massivita espresso nella pagina 36:"il concetto di massivita è consostanziale all'esenza del servizio.Tutta la tecnologia mediatica che utilizza essisteva anteriormente,ed embrioni di questi servizi anche:si pensi all'esperienza dei trapianti molteplici e simultanee,si pensi alle missioni di esplorazioni nelle profondita dei mari,nelle escalazioni di montagna,desserti,nei poli,nello spazio eccc,dove talvolta gli uomini sono medicamenti monotorizzati a distanza,ma questa azione medica e questi servizi se non hanno una acessibilita massiva non entrano in questa definizione(di Telemedicina)." Questo e tanti altri concetti della mia opera scritta potreti vederli riflettuti in questo articolo.Ad ess sull'implementazione di questi servizzi massivi nelle aree urbane(Milano )ne ho gia parlato,ma sull'incidenza dei sattelite e dell'eperienza spaziale no.Ecco qui un superbo essempio di quanto possono fare queste tecnologie per la medicina a distanza nelle aree urbane ed altro.Buona lettura.
VEDI ORA L'ARTICOLO SU "LE FIGARO":
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Consultations médicaleset échographies par satellite
Marc Mennessier24/04/2008 Mise à jour : 15:45
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Échographie par satellite. Le bras robotisé reproduit les mouvements du praticien situé à des dizaines voire à des milliers de kilomètres de là.
Le Centre national d'études spatiales travaille depuis dix ans à mettre les technologies de l'espace au service de la santé.
«Il y a quinze ans, personne, y compris dans cette maison, ne croyait que les satellites pourraient contribuer un jour à améliorer la santé de nos concitoyens», se rappelle le Dr Antonio Güell, aujourd'hui chef du service valorisation du Centre national d'étude spatiales (Cnes). Mise au point des fusées Ariane, développement de la télédétection et des télécommunications spatiales, observation de la Terre : les priorités étaient clairement ailleurs.
C'est Claude Allègre qui, le premier, s'est penché sur le sujet lorsqu'il était ministre de la Recherche (1997-2000). «Après quelques mois de réflexion, nous avons défini quatre domaines d'intervention possibles dont le désenclavement sanitaire», poursuit M. Güell. De plus en plus de gens vivent dans des endroits isolés où il n'y a pas ou très peu de médecins.C'est vrai dans les déserts ou dans les forêts guyanaises mais aussi en métropole où certains départements deviennent sous-médicalisés ou encore lors de catastrophes naturelles ou industrielles». Et de citer l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001, où pendant les premières 24 heures, lorsque les communications au sol étaient coupées, les liaisons avec les hôpitaux ont pu être rétablies grâce au satellite Immarsat.
Depuis quatre ans, le Cnes a participé à la mise au point du «terminal infirmier» Medany, actuellement en phase pilote, en collaboration avec Franck Soulier, vice-président de l'Organisation nationale des syndicats d'infirmiers libéraux (Onisil). Il s'agit d'un équipement mobile de type PDA couplé à un serveur d'applications qui permet à un infirmier en visite chez un patient d'échanger à distance des informations (examen clinique, données biomédicales, prescription médicamenteuse) mais aussi des images, des vidéos et même des électrocardiogrammes avec le médecin traitant.
Lorsque le réseau terrestre est indisponible ou inexistant, la communication est acheminée par satellite. En outre, le terminal est équipé d'un GPS qui permet de localiser le patient en cas d'urgence. «Sur l'île de la Réunion où j'exerce mon métier, beaucoup de gens sont très isolés ou ne sont pas motorisés, ce qui rend parfois difficile le suivi de certaines pathologies comme le diabète dont la prévalence est trois fois supérieure à celle de la métropole (17 % au lieu de 6 %) explique Franck Soulier. Avec Medany, je peux transmettre directement des informations comme le pouls, la tension ou la glycémie au médecin qui, en retour, délivrera son diagnostic et ses prescriptions. Au final, le parcours de soins est optimisé sans que le patient ou le médecin se déplace avec un gain de temps et de confort pour tout le monde.» Sans parler des économies : un diabète bien soigné évitera au malade d'être amputé, une opération traumatisante dont le coût de surcroît équivaut à un an de suivi infirmier à domicile.
La seconde application promue par le Cnes et l'Agence spatiale européenne (ESA) depuis 1997 consiste à pratiquer des échographies à distance grâce à un bras robotisé «qui reproduit bêtement les mouvements du praticien» situé à des dizaines voire à des milliers de kilomètres de là, explique le professeur Philippe Arbeille, directeur de l'unité de médecine et physiologie spatiales au CHU de Tours.
Une multi­tude d'examens anatomiques
Cette technique d'imagerie est indispensable pour réaliser, souvent en urgence, une multi­tude d'examens anatomiques (grossesse, fracture, thrombose veineuse, calculs rénaux, douleurs hépatiques…) en vue d'évaluer rapidement la gravité de l'état d'un patient, par exemple suite à un accident de la route. «Le problème c'est que l'échographie est dépendante de l'opérateur», explique le Pr Arbeille. Le geste très précis qu'elle requiert ne peut être guidé par la voix ou par la vidéo. D'où l'intérêt du robot et de la sonde échographique Estele qui, une fois positionnés sur le corps du patient par un non-spécialiste (infirmière, généraliste), vont pouvoir être manipulés à distance et en temps réel par l'échographiste via des lignes Numéris ou par satellite.
Depuis six mois quatre hôpitaux de la région Centre sont équipés d'un robot Estele. Ce qui permet de réaliser des échographies depuis le CHU de Tours, lorsqu'aucun spécialiste n'est disponible dans ces établissements. Les agences régionales d'hospitalisation sont très intéressées. «C'est un bon moyen d'alléger la file d'attente colossale des urgences, notamment dans les hôpitaux de proximité», souligne le professeur Arbeille qui cherche désespérément un fabricant.
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